La voiture est une grande invention qui a entraînée d’importants changements sociaux et économiques pour l’humanité. Découvre avec moi l’évolution de l’automobile.
Les ancêtres à vapeur (1769 – 1860)
D’abord, l’histoire de l’automobile a bien débuté avec des moteurs à vapeur plutôt que des moteurs à pétrole. Les premiers à imaginer et à concevoir des véhicules “automobiles” se sont basés sur la machine à vapeur. Cette technologie se développe au 18ème siècle notamment grâce aux travaux de James Watt en Angleterre.
1769
Le Fardier de Cugnot
L’ingénieur militaire français, Nicolas-Joseph Cugnot a créé en 1769 un engin destiné à remplacer les attelages de l’Artillerie en campagne. C’est le premier véhicule qui n’utilise pas l’énergie musculaire animale car on utilisait principalement les chevaux à cette époque. Comme les chariots destinés à porter de lourdes charges, on nomme cette machine “fardier”. Il dispose de trois roues et d’une chaudière à charbon placée à l’avant de la roue motrice. Une deuxième version est réalisée en 1770 mais elle se heurte contre un mur lors de sa démonstration. On peut actuellement observer la troisième version au Conservatoire National des Arts et Métiers.
1854
La diligence à vapeur
L’italien Virginio Bordino réalise ses premiers prototypes de voiture à vapeur entre 1835 et 1854. À l’époque, les carrosses ou diligences s’appellent des “voitures”. Le troisième modèle de Bordino est présenté en 1854. Son autonomie avec 60 kg de charbon est de 2 heures tandis que sa vitesse peut atteindre 6 à 8 km/h.
Les nouvelles motorisations (1860 – 1900)
Les moteurs à vapeur ouvrent la voie mais finissent en échec car les “chaudières” sont trop lourdes et ont un faible rendement énergétique. À la fin du 19ème siècle, les ingénieurs se lancent dans la course à la première automobile fonctionnelle. Ils inventent de nouveaux moteurs pour assurer la propulsion des véhicules.
1860
Le premier moteur au gaz
L’inventeur belge Étienne Lenoir développe vers 1860 le premier moteur à bougie d’allumage fonctionnant au gaz de houille. Il s’agit d’un moteur à combustion (gaz) capable d’être allumé à distance avec une bougie d’allumage. Le rendement du moteur n’est cependant pas très bon.
1881
Les premières voitures électriques
Dans les années 1830, l’homme d’affaires écossais, Robert Anderson a l’idée de créer un véhicule électrique. En 1859, le français Gaston Planté invente la batterie rechargeable au plomb, qui sera un composant essentiel à l’automobile électrique.
Puis en 1881, Gustave Trouvé présente un prototype “difficile à conduire” de tricycle électrique, à l’Exposition Internationale d’Électricité de Paris. Quelques mois plus tard, les scientifiques anglais William Ayrton et John Perry présentent le premier tricycle électrique fonctionnel avec une autonomie de 20 Km et une vitesse de 15 Km/h. Ce nouveau véhicule équipé de phares électriques, fonctionne plus simplement. De nombreuses voitures électriques sont fabriquées les années suivantes (1884 Elwell-Parker Ldt, 1891 William Morrison, 1893 Charles Jeantaud etc.).
1885
Les premiers véhicules à essence
En 1885, l’allemand Carl Benz développe un tricycle équipé d’un moteur à essence. Il s’agit d’un moteur monocylindre de 1.0 Litre refroidi par eau et d’une puissance de 560 W. Le Tricycle Benz 1 possède un allumage électrique, une soupape d’admission commandée, une boîte de vitesses et un différentiel. L’épouse de Carl Benz : Bertha Benz parcourt en 1888, le premier long trajet (106 km) avec une voiture à essence (le Tricycle Benz 3) entre Mannheim et sa ville natale Pforzheim. Elle permet ainsi à leur société Benz & Cie d’être connue. Ensuite, Bertha Benz améliore le système de freinage du tricycle et invente les plaquettes de frein.
Le 24 décembre 1898 : Louis Renault gravit la rue Lepic à Paris avec une voiturette à essence : la Renault Type A. Cette performance est due à une invention importante dans l’histoire de l’automobile : la boîte de vitesse à prise directe. Cela permet au conducteur de changer de vitesse en route. La société Renault Frères est fondée l’année suivante.
L’industrialisation (1908 – 1941)
Au début du 20ème siècle, les véhicules à vapeur trop lourds sont peu à peu abandonnés au profit de nouveaux moteurs à essence et électrique. Malgré leur faible autonomie et leur coût, les voitures électriques semblent avoir du succès parce qu’elles sont faciles à démarrer et ne produisent pas de fumée. En 1900, une voiture sur trois (⅓) dans le monde est propulsée par l’électricité. Pourtant, les moteurs à essence l’emporteront pour des raisons économiques et industrielles.
1908
La Ford T
Aux États-Unis, un certain Henry Ford fait fortune grâce à la vente de son Model A entre 1903 et 1904. Fort de ce succès, la Ford Model T sort en 1908. Dès 1910, Ford essaie avec la Ford T un nouveau mode de production inspiré des abattoirs : la chaîne de montage en série. L’assemblage d’une voiture passe d’un peu plus de 12 heures à 90 minutes environ. C’est un succès car cela permet de diviser les coûts de production par 3, d’augmenter les bénéfices, et d’augmenter les salaires des employés. En 1920, une automobile sur deux dans le monde est une Ford T (plus de 16 millions d’exemplaires sont comptabilisés en 1927). La production d’essence augmente et son prix diminue. Les constructeurs concurrents abandonnent les motorisations électriques, au gaz et surtout à vapeur. Ils suivent alors la voie de Henry Ford avec la production en série de véhicules à essence.
1909
Le verre de sécurité
Le français Edouard Benedictus dépose le brevet du verre de sécurité en 1909, puis fonde la société Verre Triplex en juillet 1911. Il s’agit d’une technique de fabrication de vitres feuilletées destinées à se briser en milliers de petits morceaux lors d’un accident. Le verre de sécurité évite aux passagers d’être tranchés par les morceaux de verre lors d’une collision. Dès 1929, Ford équipe ses voitures de Verre Triplex.
1934
La Traction Avant
En 1934, le français André Citroën présente la Citroën 7 équipée d’une transmission à “traction avant”. Ce nom restera dans les mémoires. La transmission par les roues avant permet une meilleure tenue de route. La technologie “Traction Avant” fait connaître la marque Citroën dans le monde entier car à cette époque, toutes les voitures sont propulsées avec les roues arrières motrices. André Citroën emploie les méthodes industrielles de Ford avec de nouvelles stratégies mercatiques (service après-vente, fichier clients et crédits). Il en est produit environ 760 000 exemplaires entre 1934 et 1957.
1938
La Coccinelle
Après avoir dirigé et réalisé la fusion des entreprises Daimler, Mercedes et Benz, l’ingénieur allemand Ferdinand Porsche quitte le groupe en 1929 pour créer son bureau d’étude Porsche. Dès 1931, Ferdinand Porsche conçoit le prototype Porsche Type 12 pour le constructeur Zündapp mais ce dernier abandonne le projet. Le constructeur allemand NSU s’intéresse à ce projet mais il l’abandonne car il est partenaire de l’italien Fiat. En effet Fiat a déjà un projet similaire avec la Fiat 500. Le prototype Porsche Type 12 n’intéresse alors aucun constructeur.
En 1934, Adolf Hitler souhaite équiper toutes les familles allemandes d’une voiture abordable et polyvalente : une automobile du peuple ou “Volkswagen” en allemand. L’entreprise Volkswagen est créée en 1937 avec à sa direction Ferdinand Porsche. Le premier modèle de la marque la Volkswagen Type 1 appelée par les français plus tard “Coccinelle” commence sa production à la veille de la Seconde Guerre Mondiale en 1938. Elle rencontre surtout du succès après la guerre et bat des records de production historiques avec plus de 21 millions d’exemplaires à travers le monde.
1941
La Jeep
Le gouvernement des États-Unis lance en 1940 un appel d’offre pour fournir à son armée un «véhicule léger de reconnaissance». Ce sont les constructeurs Willys et Ford qui remportent le marché et fabriquent de 1941 à 1945 pour l’armée américaine les premiers 4×4 tout-terrain GPW. Une fois la Seconde Guerre Mondiale achevée, la société Willys-Overland dépose en 1950 la marque “Jeep”.
Les Trente Glorieuses (1945 – 1975)
Entre 1945 et 1975, la production automobile triple et passe de 10 millions à 30 millions de véhicules. De nombreux constructeurs proposent des voitures de plus en plus variées en renouvelant le design régulièrement. Les courses automobiles se développent et contribuent à la renommée de certaines marques. La croissance économique et la standardisation de la production offrent des véhicules à des prix abordables. L’automobile devient alors un produit de consommation et même un objet de rêve.
1948
La Citroën 2 CV (2 chevaux)
En 1935, le fabricant de pneu Michelin rachète Citroën en difficultés financières. Comme les Allemands avec la “Coccinelle” ou les Italiens avec la Fiat 500, le nouveau directeur de Citroën souhaite une voiture du peuple à la française. Le véhicule doit surtout satisfaire les populations rurales en ayant la capacité de rouler sur des chemins de terre. Un projet de “très petite voiture” est conçu avant et pendant la Seconde Guerre Mondiale. En 1948, la 2 CV est présentée au Salon de l’automobile de Paris. Très critiquée par la presse au début, la “Deudeuche” rencontre un grand succès jusqu’en 1990 avec environ 4 millions d’exemplaires fabriqués.
1949
La Ferrari 166 MM
Après avoir travaillé chez le constructeur Alfa-Romeo, l’italien Enzo Ferrari crée sa société en 1947. Il lance des voitures de course destinées à concourir aux championnats : la 125 S puis la 166 S en 1948. À l’occasion de la course sur longue distance italienne “Mille Miglia”, la 166 est déclinée en version 166 MM pour devenir une voiture de route. C’est cette version qui remporte les 24 Heures Du Mans en 1949. Elle possède un moteur de 12 cylindres (V12) avec une puissance de 140 chevaux et peut atteindre 220 km/h. De nombreuses marques telles que Jaguar, Aston-Martin, Porsche ou Bugatti participent aussi à la légende des voitures sportives et font encore rêver les amateurs. Les courses automobiles deviennent l’occasion pour des constructeurs “grand public” tels que Renault, Audi, Peugeot ou Ford de démontrer leur maîtrise technologique.
1955
La Citroën DS
Citroën présente son nouveau modèle au salon de Paris : la DS. Cette automobile est en rupture avec le marché automobile existant. Côté esthétique : sa carrosserie semble sortir d’une BD de science-fiction et l’aménagement intérieur est très confortable. Certains l’appellent la “soucoupe roulante”. Côté technique : une suspension hydropneumatique et une assistance hydraulique pour le freinage ainsi que pour la direction. Avec une tenue de route inédite, la DS remporte un très large succès en France et au-delà des frontières. Elle représente le confort de route à la française. La DS devient même la voiture officielle des Présidents de la République Française.
50’s
Le design populaire des fifties
Dans les années 1950, une forte croissance économique conduit presque toutes les familles à posséder une voiture dans les pays développés. La production d’automobiles augmente énormément et le nombre de constructeurs et de modèles aussi. La concurrence entre les marques introduit le “design” esthétique pour plaire et surtout marquer les clients. La voiture devient alors un objet de rêve avec des carrosseries emblématiques dessinées par de grands designers tels que Pininfarina, Raymond Loewy ou Harley Earl. Enfin les années 1950 sont l’occasion pour de nombreux constructeurs de produire leurs petites automobiles populaires comme la Coccinelle ou la 2CV. On y découvre en 1956 la Renault Dauphine, en 1957 la Fiat 500 ou bien en 1959 la Morris Mini qui deviendra la Austin Mini.
1959
La ceinture de sécurité
Volvo modernise en 1959 la ceinture de sécurité même si le canadien Gustave Désiré Lebeau avait déjà inventé des “bretelles protectrices pour voitures automobiles” en 1903. La ceinture de sécurité apparaît pour la première fois en équipement de série sur les Volvo Amazon et Volvo PV 544. Le port de la ceinture de sécurité devient obligatoire en France dès 1973.
Les améliorations techniques (1973 – 1997)
Après les chocs pétroliers de 1973 et de 1979, le prix de l’essence augmente. Parallèlement, il y a de plus en plus d’accidents sur les routes. Les constructeurs automobiles doivent concevoir de nouveaux véhicules moins gourmands en énergie et plus sûrs. Certains proposent des voitures plus compactes et légères tandis que d’autres développent de nouvelles carrosseries comme les monospaces ou les SUV pour des usages collectifs. Tous recherchent plus d’efficacité, de sécurité et de confort.
1974
La Volkswagen Golf
Volkswagen souhaite dès 1969 proposer une nouvelle berline compacte qui ne ressemble pas à la Coccinelle. C’est l’entreprise italienne Italdesign qui dessine la première Golf. Son style cubique est en rupture avec les formes arrondies de la Coccinelle. Volkswagen présente la Golf en 1974 qui connaîtra un aussi grand succès que la Coccinelle.
1975
L’Airbag
Dès la fin des années 1950, les américains Ford et General Motors font des recherches sur l’idée d’un ballon gonflable pour protéger les passagers en cas d’accident. Ils ne savent pas comment éviter son déclenchement intempestif. En 1968, l’ingénieur Allen Breed invente le détecteur d’impact qui permet de déclencher le ballon uniquement lors d’une collision. C’est en 1975 que General Motors propose en option l’Airbag sur ses véhicules et Mercedes Benz en Europe dès 1981.
1978
L’ABS
L’équipementier allemand Bosch commercialise un système de freinage antibloquant en 1978 : l’ABS électronique. Il s’agit d’un système électronique permettant aux roues de ne pas se bloquer lorsqu’elles patinent contre le sol lors d’un freinage. Mercedes Benz et BMW sont les premiers à doter leurs modèles haut de gamme de l’ABS à la fin de l’année 1978. L’ABS réduit notamment le glissement sur les flaques d’eau que l’on appelle : aquaplaning.
1984
Le Renault Espace
L’entreprise française Matra a l’idée de construire un van “à l’américaine” pour le marché européen. Ce nouveau concept de véhicule familial est proposé au constructeur Renault puis mis au point durant l’année 1983. En 1984, Renault présente son premier monospace : le Renault Espace. Outre Atlantique, l’américain Chrysler a sorti 6 mois plus tôt son modèle Voyager qui est également un monospace moderne. C’est le début de l’ère des voitures familiales.
1989
Le moteur TDI
Le groupe Volkswagen propose pour la première fois sur la Audi 100 un moteur Turbo Diesel à Injection directe (TDI) en 1989. Cette nouvelle motorisation améliore énormément la performance des moteurs diesel et augmente par conséquence l’autonomie des véhicules (environ 1000 km avec un plein pour une berline). Au cours des années 1990, les autres constructeurs sortent leurs moteurs diesel à injection directe (DCI, HDI, TDCI…). Le carburant diesel (gazole) étant moins cher à la pompe, les véhicules diesel connaissent alors un grand succès.
1990
Le GPS
Le GPS (Global Positioning System) est développé dans les années 1960 par le Département de la Défense des États-Unis en pleine Guerre Froide. Il s’agit d’un appareil embarqué dans un véhicule capable de fournir une géolocalisation et des indications de navigation en communiquant avec des satellites. En 1983, le gouvernement américain ouvre ce système pour des applications civiles comme l’aviation. L’entreprise Magellan commercialise le premier récepteur GPS portatif en 1989. À partir de 1990, le GPS intègre directement les voitures et se développe surtout dans les années 2000. C’est un système qui est aujourd’hui intégré sur tous les smartphones via des applications.
1997
Le SUV
Mercedes-Benz sort en 1997 le premier SUV (Sport Utility Vehicle) européen : la Classe M. Le constructeur allemand a repris le concept du véhicule tout-terrain américain Jeep Wagoneer pour l’adapter à son marché haut de gamme. De nombreux constructeurs vont proposer dans les années 2000 leurs SUV (Peugeot 3008, BMW X5, Toyota RAV4, Nissan Qashqai…).
Le retour des moteurs électriques (1997 – Aujourd’hui)
En 2010, la barre des 1 milliard d’automobiles dans le monde est franchie. Il est également établi par le GIEC en 2007 que le réchauffement climatique depuis les années 1950 est lié aux gaz à effet de serre de l’activité humaine (notamment des transports). De plus, le pétrole se raréfie et rend les carburants de plus en plus chers. Tous les constructeurs automobiles prennent conscience qu’il faut développer des véhicules plus propres : c’est le retour des moteurs électriques.
1997
La Toyota Prius
Déjà consciente des enjeux environnementaux (épuisement du pétrole, réchauffement climatique), l’entreprise japonaise Toyota commercialise son premier modèle hybride : la Prius. C’est une automobile qui possède deux moteurs (thermique et électrique). L’intérêt repose dans la récupération de l’énergie mécanique lors des freinages pour recharger la batterie. Le moteur électrique est seulement utilisé à moins de 50 km/h. Même si l’énergie reste de l’essence, les véhicules hybrides en ont une faible consommation. Il existe aussi une version rechargeable sur prise électrique.
2008
Le Tesla Roadster I
L’entreprise Tesla Motors est fondée en 2003 par Martin Eberhard, Marc Tarpenning et Elon Musk. Son objectif est de construire des automobiles électriques grand public. Tesla veut tout d’abord démontrer les performances de ses moteurs 100% électriques en proposant une voiture de sport. Conçu en collaboration avec Lotus Cars, le Tesla Roadster I est produit à partir de 2008. Son moteur est une machine asynchrone triphasée d’une puissance de 215 kW. Le Roadster est équipé d’une batterie offrant une autonomie de 370 km. Une deuxième génération (Roadster II) sortira en 2021.
2012
La Tesla Model S
La voiture 100% électrique haut de gamme de Tesla Motors est présentée en 2009 au Salon de l’Automobile de Francfort. La Model S est produite aux États-Unis dès 2012. Son moteur est une machine asynchrone triphasée munie d’un rotor en cuivre d’une puissance maximale de 446 kW. Le Model S est équipé d’une batterie offrant une autonomie allant de 260 à 560 km. À partir de 2014, les Model S sont équipés d’un pilote automatique permettant une conduite semi-autonome de niveau 4.
2012
La Renault Zoé
La Renault Zoé est également présentée dès 2009 comme concept-car au Salon de l’Automobile de Francfort. Sa commercialisation débute en 2012. Il s’agit d’une petite berline compacte à traction 100% électrique. Elle est équipée d’une batterie offrant une autonomie allant de 100 à 150 km. Son moteur électrique est une machine synchrone à rotor bobiné d’une puissance de 65 kW soit 88 chevaux. La Zoé évolue en 2019 afin d’améliorer son autonomie (390 km) et sa puissance (100 kW).
2015
La Toyota Mirai
Enfin, la Mirai est la première voiture à hydrogène (H2) de Toyota mais est surtout le premier véhicule à hydrogène produit à grande échelle. Elle est équipée d’une pile à combustible de 114 kW (soit 155 chevaux) permettant de transformer l’hydrogène en électricité et d’une batterie électrique de 1,6 kWh. Son moteur électrique offre une puissance de 113 kW (soit 154 chevaux) et 335 Nm de couple. La Mirai a besoin de stations à hydrogène pour être ravitaillée et n’émet pas de CO2.
Meilleur site du monde vous nous avez aidez a avoir vingt merci
Excellent article. Merci camille
super bravo les élèves ont tout compris et beaucoup aimé
Bonjour et merci de votre aide